2 ans !
Que j'ai commencé
À écrire doucement
Quelques petits billets
Cela fait deux ans
Que je viens vous écrire
Avec le nez au vent
Ce que l'actu m'inspire
Cela fait deux ans
Que mes petits bonheurs
Croisent de temps en temps
Mes mouvements d'humeur
Cela fait deux ans
Qu'avec quelques chroniques
Je vous livre en chantant
Mes coups de coeur en musique
Cela fait deux ans
Que je veux avec humour
Chasser le mauvais temps
Ou vous parler d'amour
Cela fait deux ans
Que je vois augmenter
Ceux qui viennent fidèlement
Et m'invitent à continuer
*°*°*°*°*°*°*°*°*°*°*°*°*°*
Voyages ...
J'en ai fait des voyages
Tout près ou loin d'ici
J'en ai vu des paysages
Que j'ai trouvés jolis
J'en ai fait des voyages
Par amour ou par défi
J’ai connu d’autres rivages
Un parcours bien rempli
J'en ai fait des voyages
Et rencontré des amis
J'ai aimé leurs visages
Et je leur ai souri
J'en ai fait des voyages
Peu à peu ils m’ont nourrie
Ai-je été folle ou bien sage
Peu importe j’ai grandi
J'en ai fait des voyages
Avec le corps et l’esprit
Avec ou sans bagages
Sur mon chemin de vie
J'en ai fait des voyages
Ils m'ont tellement appris
Que le coeur n'a pas d'âge
Et je leur dis merci
°-*-°-*-°-*-°-*-°-*-°-*-°-*-°-*
À Nadine ...
Comme je n'ai que les mots
Pour te rendre hommage
C'est le coeur bien gros
Que je t'écris cette page
Aujourd'hui je pense à toi
Comme hier et demain
Toi mon double mon autre moi
Qui me tenait la main
Je n'ai jamais eu aussi mal
Que le jour où j'ai appris
Que tu avais quitté le bal
Et sortais cruellement de ma vie
De t'avoir connue j'en suis fière
Toi qui fus mon amie
Partageant joies et galères
Pendant trois décennies
Quel drôle d'anniversaire
Ma soeur, ma pote, ma copine
J'ai encore le coeur à l'envers
Je t'en prie fais-moi un signe
°-°-°-°-°-°-°-°-°-°
Le 1er Mai ...
Bientôt le 1er Mai
Avec sa tradition
Son brin de muguet
Symbole d’affection
Pour cette fête du labeur
Serez-vous en congé
Aurez-vous du bonheur
Ou irez-vous défiler
Pour que ce jour de fête
Soit symbole de douceur
Deviendrez-vous poète
Offrirez-vous des fleurs
Ou aurez-vous la chance
De trouver belle la vie
Qui avec élégance
Se comporte en amie
Pour cette fête du travail
Voilà mon beau souhait
De beaux jours en pagaille
Et l'amour pour projet
°-°-°-°-°-°-°-°-°-°-°-°-°
Dommage ...
Chaque fois que je croise son regard
Il m'adresse de grands sourires
Et comme il n'y a point de hasard
Qu'est-ce que cela peut vouloir dire
Il a l'air assez timide
Ou alors plutôt réservé
Mais ma tête et mon coeur sont vides
Car de l'amour ils sont détournés
De ne plus être en demande
Je me sens comme soulagée
Mais de tendresse reste gourmande
Comme témoignage d'amitié
Me voilà enfin tranquille
Sans l'amour pour priorité
Derrière moi sont les temps difficiles
Avec un sentiment de légèreté
°-°-°-°-°-°-°-°-°-°
Un bouquet de fleurs
Un bouquet de fleurs
Ca fait toujours plaisir
Car il vient du coeur
C'est comme un sourire
Un bouquet de fleurs
C'est un rayon de soleil
C'est un peu de bonheur
Une petite merveille
Un bouquet de fleurs
C'est un supplément d'âme
C'est plein de couleurs
C'est comme une flamme
Un bouquet de fleurs
Bien mieux qu'un discours
Peut sécher des pleurs
C'est un geste d'amour
Un bouquet de fleurs
Par ce qu'il veut dire
A tellement de valeur
Quel plaisir de l'offrir
°-°-°-°-°-°-°-°-°-°
Joli
pronoms
Belles sont ses pensées adressées à ton égard,
Eprises, elles le sont de votre afflux de tendresse,
Douce est l'envie de se noyer dans ton regard,
Chose, elle le devient, à l'idée de vos caresses
Mais où donc êtes-vous
Alors qu'elle t'attend
Donnez-lui rendez-vous
Elle t'accueillera tendrement
Elle est bien longue votre route
Depuis quand es-tu parti
Venez vers elle coûte que coûte
Et tu enchanteras sa vie
Pour ne pas perdre espoir elle apprécie
De dire tour à tour tu ou bien vous
C'est comme une jolie coquetterie
Qu'elle garde au chaud pour dire nous
Poèmes de Rosalie, la suite ...
Gainsbourg Inédit !
Allô à l’huile ? (1982)
Allô allô à l’huile
Comment vas-tuyau de poêle
Et toile à matelas
Ha ! ha ! ha ! ha !
A peine elle était partie
En vacances avec le petit
Je me retrouve dans l’obscurité
Tous les plombs avaient sauté
Une panne je m’demande pourquoi
Quand dans un coin qu’est-ce que j’vois
Raide et tous poils hérissés
Le chat électrocuté
C’est en voulant faire pisser
Le chien qu’cui-ci s’est tiré
J’suis allé à la fourrière
Ils y avaient fait son affaire
J’me souvins d’un numéro
D’une petite aux gros lolos
Elle était si bien en chair
Qu’s’effondra l’cosy-corner
J’veux allumer un cigare
Quand j’entends un coup d’pétard
Je vois sauter mon Teppaz
J’avais oublié le gaz
Le temps qu’arrivent les pompiers
Tout était déjà cramé
Même qu’le bocal à poisson
Était en ébullition
Arrivé à la clinique
On m’prend pour un alcoolique
Aussitôt on m’emprisonne
C’est d’là que j’te bigophone