
L'idée est partie de 3 personnes. Elle s'appelle "La Journée sans Immigrés, 24 heures sans nous".

En quoi consiste-t-elle cette journée ? À ne pas être actif économiquement. Ne pas travailler, ne pas consommer.
Les françai(e)s issu(e)s de l'immigration veulent faire passer un message à celles et ceux qui n'en ont pas encore conscience, que leurs place et rôle dans ce pays sont bien réels, effectifs.
« Par notre absence, nous voulons marquer la nécessité de notre présence »

« Quand il y en a un, ça va. C’est quand il y en a beaucoup qu'il y a des problèmes »
(Brice Hortefeux)
Une journée sans eux nous apprendra que leur absence, pendant 24 heures, dans la vie socio-économique et culturelle, paralyserait le pays.
Séduites pas le projet, la Grèce, l’Italie et l’Espagne ont emboîté le pas à "La Journée Sans Immigrés, 24 H sans nous", programmant aussi une journée sans immigrés le 1er mars.
(Brice Hortefeux)
Une journée sans eux nous apprendra que leur absence, pendant 24 heures, dans la vie socio-économique et culturelle, paralyserait le pays.
Séduites pas le projet, la Grèce, l’Italie et l’Espagne ont emboîté le pas à "La Journée Sans Immigrés, 24 H sans nous", programmant aussi une journée sans immigrés le 1er mars.